Je vois déjà vos mines défaites, à l’idée de réintégrer votre bureau et de retrouver vos piles de dossiers … après avoir survécu au parcours quotidien du combattant que vous êtes (re)-devenu : lever des enfants, garnissage des boîtes à tartine, vérification des cartables, préparation des sacs de sport, quête effrénée de la basket manquante … ordres scandés militairement pour presser tout ce joli monde …
Et si vous essayiez la coopération ? Pour lutter contre le stress, recréer du lien social avec vos collègues et profiter ensemble des multiples bénéfices de cet état d’esprit …
Cap ou pas cap ?
…. comme AUTHENTICITÉ.
Une équipe, c’est une série d’individus aux multiples facettes, avec des qualités et des défauts, des forces et des fragilités.
Dans le milieu professionnel, nous nous censurons sans cesse, gommons certains aspects de notre être par peur de déplaire. Or, un des tout premiers pas de la coopération est de (nous) offrir la possibilité de nous sentir nous-même, dans notre altérité, d’oser tomber certains masques sociaux qui limitent nos champs d’action et simplement accepter notre condition imparfaite d’humain. Pour ce faire, il faudra parfois être un peu courageux pour affirmer peu à peu, certaines idées ou opinions, changer nos croyances (sur soi et sur les autres), exprimer nos questionnements ou nos doutes, abandonner certaines habitudes, avouer des peurs qui nous empêchent d’accomplir certaines tâches ou de vivre sereinement les relations interpersonnelles. Ces petits changements de comportement vont engendrer chez chacun un sentiment de sécurité et confiance. Et plus nous serons authentiques, plus ce sentiment grandira …
… comme BIENVEILLANCE
On sait que le monde de l’entreprise n’est pas celui des Bisounours. Il s’agit ici d’adopter simplement une série d’attitudes faciles à intégrer : cesser tout comportement jugeant, envers soi et envers les autres. Sortir de la plainte, c’est à dire arrêter de souligner l’existence de sempiternels problèmes mais pointer les avancées positives observées. Rester en silence, plutôt que de faire des commentaires désagréables ou négatifs. Et respecter certaines règles de civilité basique : saluer les gens, remercier, faire un compliment, un sourire…. Pour ce faire, nous pouvons nous référer à un des 4 accords toltèques « Que ta parole soit impeccable » .
… comme COMMUNICATION
Le maître mot en entreprise. Qui veut tout dire … et son contraire. Et si au lieu de vouloir toujours plus communiquer, nous apprenions à mieux communiquer ?
Pour co-créer une communication optimale, nous pouvons chacun aiguiser notre vigilance sur quelques points suivants tels que : est-ce que je reçois (ou je donne) toutes les informations nécessaires au bon déroulement du travail ? Suis-je apte à respecter la confidentialité de propos tenus en réunion ou avec certains clients ? Suis-je capable d’être dans l’écoute active et dans l’empathie ? Suis-je capable d’entrer dans le cadre de référence de l’autre (parler le même langage, m’adapter à sa manière de penser, de percevoir les choses) ?
… comme DROIT A L’ERREUR
L’erreur est humaine. C’est le propre de l’humain d’être faillible, la perfection n’est pas de ce monde. Or la plupart des entreprises considèrent encore l’erreur comme un signe d’incompétence, ce qui provoque chez le collaborateur « fautif » un sentiment de culpabilité et des réactions contre-productives (on cherche un coupable, on ignore ou on minimise la portée de cette erreur). Ni le collaborateur, ni l’entreprise ne tirera un bénéfice de ce genre de comportement.
Or ce qui pose problème ce n’est justement pas de faire une erreur mais de persévérer dans cette erreur. Et si au lieu de diaboliser l’erreur (on en fait tous), nous l’acceptions et nous nous servions d’elle comme d’un levier d’apprentissage ? Oser la pédagogie de l’erreur n’est pas l’autoriser d’emblée, mais si une erreur surgit, il faut en tirer les leçons, nous permettre des essais, des ajustements pour arriver à un résultat parfois plus … optimal ! N’est-ce pas en « ratant » une tarte que les sœurs Tatin ont inventé un des dessers les plus appréciés de la cuisine française ?
… comme ECOUTE
Ecouter est un art, c’est une attitude active, tandis qu’entendre est un comportement passif. Cette attitude implique une dose d’humilité, une disponibilité et une capacité à mettre en sourdine notre propre dialogue intérieur (jugement, interprétation, tentation de donner son opinion). Cet acte, a priori anodin, ne coule pas forcément de source.
Pour les personnes qui souhaitent développer cette compétence interpersonnelle, il est intéressant de garder en tête que l’écoute est basée sur les 3 principes suivants :
- l’autre est différent de moi
- il a quelque chose à dire que je ne sais pas encore
- il est important qu’il s’exprime et que je le comprenne
… comme FORCE DE PROPOSITION
Encore une expression qui peut sembler insupportable. Initialement, elle ne signifie en effet pas grand chose. Quelqu’un qui est « force de proposition » prend simplement des initiatives, suggère des idées audacieuses. Cet état d’esprit emprunt de créativité (la créativité comme réponse au changement ou aux obstacles) peut s’avérer très positif pour la montée en confiance personnelle et collective. Pourtant, c’est une compétence dont il faut user avec toute la subtilité du monde. Avoir des idées sur tout et les clamer haut et fort à tout qui veut l’entendre peut irriter certains collègues ou notre manager. Les gens qui en abusent peuvent rapidement être catalogués comme des « je sais tout » ou encore des « grande g… ». Pardon my French !
… comme GRATITUDE
J’imagine votre sourcil levé, le point d’interrogation dans votre regard… Quelle place a donc ce mot dans le milieu professionnel ? Dans la jungle des rapports de pouvoirs, comment (et pourquoi) diable devrait-on y intégrer la gratitude ?
Comme chaque compétence qualifiée de prosocial, la gratitude n’est pas innée. C’est un processus lent qui demande une discipline et de l’assiduité. C’est une habitude à prendre, une réponse possible à la morosité ambiante, au défaitisme général et une solution contre le stress et la mauvaise ambiance au travail. Pour apprendre à pratiquer la gratitude, commencez par vous-même. En rentrant du boulot, plutôt que de lire / regarder les (mauvaises) nouvelles du monde, inscrivez dans un petit carnet 3 choses que vous avez bien faites (ex : terminer une tâche qui traînait depuis un certain temps), épinglez un acte de courage (ex : j’ai osé aborder la question d’un éventuel 4/5 temps avec mon patron), rappelez-vous un moment de votre journée où vous vous êtes senti complètement détendu / en phase avec vous-même (m’être autorisé à sortir manger mon sandwich sur un banc, face à l’étang au parc)…
Quand vous avez pratiqué pendant plusieurs jours … faites-le même exercice en indiquant les mini gratitudes envers votre patron, votre entreprise, votre collègue. Cette partie de l’exercice, ne soyons pas naïfs, est parfois plus ardue. Mais vous trouverez toujours une raison d’être reconnaissant. Rome ne s’est pas faite en un jour, prenez patience et vous sentirez peu à peu un vent plus léger flotter dans les couloirs du bureau, … et des ailes vous pousser aux pieds pour aller travailler le matin.
… comme HUMILITÉ
Alphonse Allais a dit « Les cimetières sont remplis de gens irremplaçables » . Nous nous sommes tous crus, à un moment ou à un autre, indispensables à la bonne marche de notre entreprise. Sans doute avons-nous eu un rôle plus ou moins important à jouer dans la réussite d’un projet … mais a contrario, lorsque nous avons quitté un service ou changé d’entreprise, le monde a continué de tourner sans nous, n’est-ce pas ?
Aujourd’hui quelle énergie consacrons-nous à nourrir cet ego ? A traquer dans le regard d’un collègue, une réflexion de notre boss le signe de reconnaissance ultime ? Et si nous décidions une bonne foi pour toute de mettre notre ego au frigo, la compétition en rémission et de nous ouvrir au monde confortable de l’humilité …
Difficile de s’ouvrir à ce monde me direz-vous car l’humilité a bien piètre réputation. Elle est souvent considérée comme un signe de faiblesse, un manque d’estime de soi et de confiance en ses propres capacités. Pourtant l’humilité n’est autre que la capacité à prendre conscience du chemin d’apprentissage qu’il nous reste à parcourir et de nous mettre à l’ouvrage, en toute simplicité. Qu’attendez-vous pour prendre votre bâton de pèlerin ?
… comme INCLUSION
C’est une des toutes premières étapes de la coopération. Est-ce que tout le monde se sent inclus dans l’équipe ? Est-ce que tout le monde a un rôle à jouer et l’importance de son rôle est-il reconnu par ses pairs ? Y a-t-il un « rituel » d’inclusion pour les nouveaux collaborateurs qui arrivent dans mon équipe ? Si pas, qu’est-ce qui pourrait être mis en place pour que les personnes nouvelles se sentent d’emblée intégrées ?
… comme JEU
« If you want creative workers give them enough time to play ». Cette citation de John Cleese, un des trublions des fameux Monthy Python, n’a pas encore bonne presse dans le monde du travail. Pourtant les avantages du jeu sont multiples et les apprentissages qu’on peut faire en s’autorisant à jouer sont facilement applicables sur le terrain de la réalité professionnelle. Parmi ses avantages, citons les suivants : il crée du lien social, c’est un espace virtuel d’expérimentations, c’est un espace de décisions, on peut créer de nouvelles règles (sortir du cadre), on y poursuit un objectif commun et donc s’y découvrir une dynamique collective …. Vous avez encore des doutes sur son utilité ?
… comme KANGOUROU
Il y en a très peu dans les équipes, sauf peut-être en Australie ….
C’était juste une blague pour voir si vous me suiviez toujours ! J’aurais pu prendre KNOWLEDGE mais je changeais de langue et cela allait sans doute vous perturber. Allez hop, on saute à la lettre L !
… comme LATITUDE
La latitude c’est posséder une certaine marge de manœuvre pour pouvoir agir librement et laisser ainsi libre cours à sa créativité. Qu’en est-il de cette marche de manœuvre au sein de votre entreprise ? Sur une échelle de 1 à 10, quelle est-elle ? La prise d’initiative est-elle soulignée positivement ou bien vous sentez-vous tenu par des schémas trop rigides ou des règles imposées ? Qu’est-ce qui pourrait être mis en place pour fluidifier tout cela ? Quels seraient les avantages de libérer ce genre de comportements au sein de votre équipe ?
… comme MOTIVATION
C’est un des bienfaits de la coopération et de la mise en pratique des quelques concepts précités. Un collaborateur qu’on remercie, qu’on reconnaît pour ce qu’il est et pour l’importance de ce qu’il fait, qui se sent libre de travailler avec une marge de manœuvre suffisante pour pouvoir évoluer dans son quotidien; un environnement où la communication est soignée, où on se sent écouté et respecté dans son intégrité … tout cela augmente la motivation au sein de l’équipe ….
…. comme NOUVEAUTÉ
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à avoir de nouveaux yeux » . Quand une entreprise / un département tourne au ralenti, cette citation de Marcel Proust invite à réfléchir sur notre manière de repenser le travail de manière innovante et de s’organiser en conséquence. Innover c’est avant tout lâcher du lest sur les certitudes du passé, sur des méthodes qui ont fait leurs preuves mais qui ne sont plus adaptées au contexte actuel. C’est avoir le courage d’admettre que certaines convictions sont néfastes et oser les abandonner. C’est sortir de sa zone de confort, envisager de nouvelles options. Qu’est-ce qui est mis en place dans votre travail pour accueillir la nouveauté ? Disposez-vous d’une boîte à idées, à suggestions ? Des brainstormings ?
comme OBJECTIF …
…. commun ! Un autre pilier de la coopération est de travailler autour d’un objectif commun. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin… Pour être certain que tout le monde soit motivé, il est important d’être vigilant sur les quelques points suivants : l’objectif commun est-il clair et connu de tous ? A-t-on associé les collaborateurs à la définition de cet objectif ? Est-ce que cet objectif donne du sens au travail de chacun ? Est-il suffisamment mobilisateur et ambitieux ? Que met-on en place pour en vérifier la progression ? Comment s’assurer que chacun privilégie l’objectif commun à son objectif individuel ?
… comme PROCESSUS
Pour être efficace, il ne suffit pas toujours de savoir où l’on va mais surtout de comprendre comment s’y rendre.
Dans de nombreuses entreprises, des collaborateurs font des apprentissages personnels tout au long de leur carrière. Partage des bonnes pratiques, prise de décision, carte de complémentarité des talents, de partage de l’information
…. comme QUALITÉ
C’est sûrement un de vos credo dans la réalisation de votre boulot, (celui de vos collègues aussi), et c’est tout à votre honneur. Et pour vous rendre la vie au bureau (et celle de vos pairs) plus qualitative, qu’avez-vous mis en place ? Quelle qualité est accordée à l’environnement de travail (propreté, beauté, confort, matériel correct) ? Aux relations interpersonnelles (y a-t-il des pratiques connues de tous pour respecter des relations saines ?) A l’écoute ? Le bien-être au travail passe par des choses simples, possibles à mettre en place … Et si vous commenciez par organiser un concours de déco des bureaux pour Noël ?
… comme RESPONSABILITÉ
C’est la faute du système, du gouvernement, de la crise économique. C’est pas moi, c’est l’autre …. On apprend à nos enfants à se responsabiliser mais nous, le faisons-nous également dans le cadre de notre travail ? Nous sommes-nous déjà demandés quelle était notre part de responsabilité dans le bien commun de l’équipe ? Dans l’atteinte des objectifs ? Dans la construction d’une bonne
ambiance ? Cette notion de responsabilité en entreprise ne s’arrête pas à moi, à mon travail. Il est certes important d’avoir conscience de ses propres responsabilités mais ne serait-Il pas intéressant, voire plus efficace, de l’appliquer au « nous » et d’observer les résultats obtenus.
… comme SENS
Aujourd’hui la perte de sens au travail est sans aucun doute la raison majeure de la plupart des burn-out. Le sens est synonyme de cohérence, de consistance, d’équilibre. Un travail rempli de sens répond aux valeurs profondes d’une personne, cela lui permet de se sentir utile et de se développer vers une forme de complétude. Ce qui motivent les gens à aller bosser ce n’est pas qu’ils vont faire de leur journée mais surtout pour quoi et pour qui ils vont dépenser leur belle énergie.
… comme TALENTS
Pour mener une tâche à bien, il est judicieux de connaître toutes les ressources dont on dispose pour le faire. Or, dans le monde du travail, rares sont les personnes qui sont conscientes de l’étendue de leurs propres talents … et encore moins des talents de leurs collègues. Chacun reste confiné dans ses tâches avec les compétences que celles-ci requièrent. Or cette méconnaissance des ressources inexplorées chez chacun réduit fortement l’efficacité sur le terrain. En apprenant à connaître les talents des autres et en dévoilant les siens, on peut réfléchir à utiliser la complémentarité de ceux-ci pour servir le projet d’entreprise et commencer à agir dans un esprit d’intelligence collective.
… comme US & COUTUMES
Ces « us & coutumes » constituent ce que l’on nomme la culture d’entreprise. Ce sont des manières d’agir, de penser et de se comporter au sein du milieu professionnel dans lequel on évolue. Cette culture quand elle est claire et en cohérente augmente le sentiment d’appartenance des collaborateurs, élément essentiel à la motivation. Et dans votre bureau, quelles sont les bonnes pratiques professionnelles mises en place ? Existent-ils des rituels entre collègues (on fête les anniversaires, on organise une activité sportive ou culturelle …) qui permettent de cultiver cet esprit ?
… comme VICTOIRES
Célébrer les victoires ensemble, c’est inviter l’équipe à se réjouir de la réussite d’un projet, de la mise en place d’une innovation, de l’inauguration d’un nouveau lieu. C’est l’occasion de souligner les efforts, l’énergie, la bonne volonté déployés par chacun des membres de l’équipe lors de cette aventure. La célébration des victoires, petites ou plus importantes, permet de resserrer le lien social dans l’équipe et d’augmenter le taux de motivation des personnes impliquées. C’est un temps de relâchement où l’on se félicite de ses prouesses et on peut tirer la leçon des erreurs ou encore commenter les obstacles rencontrés. C’est une belle occasion de grandir ensemble en tant qu’équipe.
… comme WILL
Plus facile de trouver un mot qui commence par W en anglais. J’ai donc osé changer de langue. A ce stade ci de la lecture, je peux vous perturber, non ?
« Will » c’est donc la volonté … et ce que je préfère encore c’est « good will », la bonne volonté car sans cet état d’esprit, aucune coopération n’est possible. La (bonne) volonté est la base de l’ouverture à l’autre, permet de transformer les pensées rigides en actes fluides, transforme les esprits chagrins en optimisme. On a donc tout intérêt à se relier à cette état d’esprit, qui existe en chacun de nous et qui peut se travailler au quotidien. C’est une attitude énergisante !
…. comme XANADU
Keskecèkeça ? Dans la culture populaire, c’est un monde inventé ou imaginaire. Et si Xanadu devenait simplement un lieu / un espace cocréé par les collaborateurs au sein d’une entreprise qui aurait une utilité au bien commun, avec des codes complètement différents des codes professionnels en usage au sein de l’équipe ? On pourrait, au choix, s’y détendre, discuter d’idées farfelues, passer sa rage, partager un savoir, .. A vous de décider avec vos collègues ce que cet endroit imaginaire pourrait prendre comme forme …. ! Imagination au pouvoir !
… comme YIN et YANG
Que les plus cartésiens me pardonnent mais j’avais envie d’évoquer ce concept car je pense que cet équilibre entre le principe féminin (YIN) et le principe masculin (YANG) est nécessaire à la bonne marche d’une équipe et d’une organisation. Le yin et le yang constituent les modes inséparables de la passivité et de l’activité. Ces deux principes vivent en nous et nous les utilisons assez naturellement. Prendre conscience de l’utilité d’appliquer l’un ou l’autre en particulier pour par exemple dépasser un blocage professionnel ou encore pour gérer une situation relationnelle délicate au sein du travail (client ou collègue) peut s’avérer redoutablement efficace.
… comme ZEN
Ici je sais que certains vont me détester … d’oser utiliser ce genre de mots venu de la mode New Age déjà dépassée. Pourtant être zen sur son lieu de travail ne signifie pas être dans un état de conscience altérée ininterrompue. Cela signifie avant tout pouvoir prendre de la distance ou garder son sang-froid dans des situations de crise, de conflit, lors d’infortunes rencontrées dans le déroulement d’une tâche ou d’un projet. Etre zen c’est avant tout dédramatiser des situations de stress et ramener le calme à l’intérieur de soi et de l’équipe en se concentrant sur les priorités et sur l’essentiel.
Pas besoin de méditer à Xanadu pour cela !
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Bonne rentrée à tous !